Je place la société dans la République (dans l'Etat), et l'économie en dehors. La ResPublica ne devrait s'occuper que de ce qui est du ressort du domaine publique (dont on ne peut pas donner la propriété à quelqu'un) et de la relation entre les individus.
Il me semble (qu'on m'arrête si l'on est en désaccord) que si l'Etat se mêle de l'économie, c'est pour en répartir les richesses. Donc, piquer aux plus riches pour redonner aux plus pauvres. D'où le parallèle avec la délocalisation d'une entreprise: si les pays du tiers monde acceptent de travailler pour un salaire qui nous semble pourri, c'est qu'ils y ont leur intérêt; pour exemple, le niveau de vie en Chine a explosé ces dernières années.
Donc, à mon sens, le libre échange aura pour conséquence d'homogénéiser la richesse à long terme sur la planète entière. Or, l'hémisphère Nord a, depuis des siècles, été bien mieux lotis que le reste du monde. Du coup, vu que l'on homogénéise les choses, notre niveau baisse.
La solution de poser des barrière pour éviter cette homogénéisation me semble mauvaise. Une solution plus cohérente à mon sens est de se forcer à continuer notre progrès, comme un sportif qui se surpasse me semble meilleur qu'un sportif qui tente de péter les genoux de ses adversaires.
Je ne vois pas le libéralisme comme une machine à encourager les inégalités (au contraire, au niveau mondial, cela tend à les limiter entre les pays), ni comme une centralisation des ressources. Je le vois comme une politique de foutage de paix aux gens. Comme une politique visant à refaire confiance aux gens, car leur donner plus de liberté, c'est leur donner la possibilité de faire plus de mal (ok), mais aussi plus de bien, et je pense qu'on en tirera plus de bien que de mal (oui, j'en viens même à penser que le libéralisme est plus humanitaire que l'étatisme, puisqu'il considère que pour faire le bien, il faut donner la liberté aux gens, donc, la confiance).
Il me semble (qu'on m'arrête si l'on est en désaccord) que si l'Etat se mêle de l'économie, c'est pour en répartir les richesses. Donc, piquer aux plus riches pour redonner aux plus pauvres. D'où le parallèle avec la délocalisation d'une entreprise: si les pays du tiers monde acceptent de travailler pour un salaire qui nous semble pourri, c'est qu'ils y ont leur intérêt; pour exemple, le niveau de vie en Chine a explosé ces dernières années.
Donc, à mon sens, le libre échange aura pour conséquence d'homogénéiser la richesse à long terme sur la planète entière. Or, l'hémisphère Nord a, depuis des siècles, été bien mieux lotis que le reste du monde. Du coup, vu que l'on homogénéise les choses, notre niveau baisse.
La solution de poser des barrière pour éviter cette homogénéisation me semble mauvaise. Une solution plus cohérente à mon sens est de se forcer à continuer notre progrès, comme un sportif qui se surpasse me semble meilleur qu'un sportif qui tente de péter les genoux de ses adversaires.
Je ne vois pas le libéralisme comme une machine à encourager les inégalités (au contraire, au niveau mondial, cela tend à les limiter entre les pays), ni comme une centralisation des ressources. Je le vois comme une politique de foutage de paix aux gens. Comme une politique visant à refaire confiance aux gens, car leur donner plus de liberté, c'est leur donner la possibilité de faire plus de mal (ok), mais aussi plus de bien, et je pense qu'on en tirera plus de bien que de mal (oui, j'en viens même à penser que le libéralisme est plus humanitaire que l'étatisme, puisqu'il considère que pour faire le bien, il faut donner la liberté aux gens, donc, la confiance).