18-09-2012, 12:39 PM
Pour le statut auto-entrepreneur, les revenus annuels maximum sont de 32600 euros. Sachant quand étant auto-entrepreneur, il n'y a pas de séparation entre son patrimoine personnel et professionnel. On se plante, c'est fini.
Question cout, on ne gagne rien, on ne paye rien. Mis à part au bout de 3 ans, on est redevable de la CET (CFE + CVAE), c'est la taxe remplaçante de la taxe professionnelle qui a disparu sous Sarkozy. Elle varie entre 200 et 2000 euros en fonction de la ville de domiciliation de l'entreprise.
Autre chose à savoir, l'auto-entrepreneur n'est pas assujetti à la TVA. Donc vos achats sont faits TTC. Le bon côté c'est qu'on ne facture pas la TVA, c'est donc une gestion en moins...
Pour l'EURL, son fonctionnement est comme une SARL, mais à un seul associé. Il y'a donc séparation entre patrimoine personnel et professionnel. Donc pas vraiment de risque. A moins que le capital soit sous-estimé par rapport à l'ampleur du projet. Là on rentre dans une faute de gestion qui nous concerne directement (donc pénalement). Les différences avec l'auto-entreprise sont aussi dans l'obligation de dresser des statuts. Et d'obtenir une greffe au tribunal de commerce. Les plafonds quant à eux peuvent largement dépasser les 1 000 000 d'euros de bénéfice mais ne pas dépasser 2 000 000 de chiffre hors taxe (si je dis pas de bétises...).
La SARL quant à elle est une société "normale", donc il faut au moins être deux associés. Les plafonds sont gigantestes (voir illimités). Et tout comme une EURL, il y'a des frais de fonctionnement fixe annuel (anciennement taxe professionnelle) dont on ne peut pas se passer, même s'il peut y'avoir des exonérations ou abattements les premières années en fonction des cas. Mais dans l'ensemble, comptez 3000 euros fixe par année d'exercice.
Question cout, on ne gagne rien, on ne paye rien. Mis à part au bout de 3 ans, on est redevable de la CET (CFE + CVAE), c'est la taxe remplaçante de la taxe professionnelle qui a disparu sous Sarkozy. Elle varie entre 200 et 2000 euros en fonction de la ville de domiciliation de l'entreprise.
Autre chose à savoir, l'auto-entrepreneur n'est pas assujetti à la TVA. Donc vos achats sont faits TTC. Le bon côté c'est qu'on ne facture pas la TVA, c'est donc une gestion en moins...
Pour l'EURL, son fonctionnement est comme une SARL, mais à un seul associé. Il y'a donc séparation entre patrimoine personnel et professionnel. Donc pas vraiment de risque. A moins que le capital soit sous-estimé par rapport à l'ampleur du projet. Là on rentre dans une faute de gestion qui nous concerne directement (donc pénalement). Les différences avec l'auto-entreprise sont aussi dans l'obligation de dresser des statuts. Et d'obtenir une greffe au tribunal de commerce. Les plafonds quant à eux peuvent largement dépasser les 1 000 000 d'euros de bénéfice mais ne pas dépasser 2 000 000 de chiffre hors taxe (si je dis pas de bétises...).
La SARL quant à elle est une société "normale", donc il faut au moins être deux associés. Les plafonds sont gigantestes (voir illimités). Et tout comme une EURL, il y'a des frais de fonctionnement fixe annuel (anciennement taxe professionnelle) dont on ne peut pas se passer, même s'il peut y'avoir des exonérations ou abattements les premières années en fonction des cas. Mais dans l'ensemble, comptez 3000 euros fixe par année d'exercice.