Pour ceux qui ont joué à des jeux tels que Neverwinter Nights ou Dragon Age, je pense que s'inspirer de ce système tactique peut être intéressant. J'y avais pensé notamment dans le cas de défense d'une forteresse qui est plus simple que la bataille rangée du fait qu'il y à beaucoup moins de stratégies envisageables. Le joueur définirait quelle action son armée doit entreprendre face à quelle situation.
Une armée médiévale se compose d'infanterie légère et lourde, d'archers, d'arbalétriers, d'armes de siège. Ça m'a souvent étonné de voir que dans beaucoup de jeux tous les corps vont au casse pipe simultanément. Si j'attaque une forteresse et que j'ai des trébuchets je ne vois pas trop l'intérêt de faire avancer mon armée pour qu'elle se fasse descendre par les archers sur les remparts. L'assaillant dispose d'un avantage, ses armes de siège n'ont pas vraiment à viser, elles ciblent un château, les armes de siège de défense doivent quand à elle essayer de détruire les armes de sièges ennemies en priorité.
Imaginons qu'au tour 1 l'assaillant ai décidé de bombarder les défenses de la forteresse. Il serait donc logique que le défendeur veuille les détruire, faisant tirer ses armes de sièges à leur tour. De plus il paraîtrait judicieux d'envoyer la cavalerie détruire les engins assaillants. L'assaillant défendrait donc ses engins de siège avec ses unités à distance, décimant une bonne partie de la cavalerie ennemie (le résultat dépendrait entre autres de la composition des armées ennemies. Lorsque les cavaliers s'approchent trop l'infanterie se déplacerait pour défendre ces engins de siège. Là une différence pourrait venir des archers montés, qui pourrait par exemple n'être qu'un leurre, il font semblant de s'en prendre aux armes de siège pour en fait détruire les petits contingents envoyés les défendre. De toute manière après avoir fait feu sur une forteresse de qualité, seul quelques passages seraient ouverts à l'assaut des soldats créant des trous dans la défense mais assez facilement défendables en déployant une infanterie lourde, équipée d'armures et de boucliers. On à donc une gorge, défendue au sol par les soldats en armure peut susceptibles d'être tués par des flèches ou des carreaux, et les archers qui demeurent sur les murailles alentours qui peuvent faire pleuvoir leurs flèches sur les assaillants. A un moment ou un autre le combat va se transformer en massacre, un groupe veut passer, l'autre ne veut pas qu'il passe, donc l'assaillant doit mener l'assaut. Là c'est la manière de s'y prendre qui fait la différence ainsi que la manière dont la forteresse est construite.
Enfin bref c'est juste un schéma basique pour expliquer comment je m'y prendrais, étape par étape avec des comportements prédéfinis. Le défendeur aurait une case tactique "Si tel mur est détruit" ou "Si l'ennemi pénètre l'enceinte du château", "Si les unités à distance ennemies sont à tel distance"... L'assaillant aurait des cases tactiques du genre "Si il y à un mur d'enceinte", "Si des archers y sont postés", "Si la cavalerie du défendant est déployée"... Tout ça permettrait de connaître les stratégies de l'ennemi combat après combat, mais également de mettre en place une certaine différence dans la résolution des combats selon les méthodes utilisées.
Une armée médiévale se compose d'infanterie légère et lourde, d'archers, d'arbalétriers, d'armes de siège. Ça m'a souvent étonné de voir que dans beaucoup de jeux tous les corps vont au casse pipe simultanément. Si j'attaque une forteresse et que j'ai des trébuchets je ne vois pas trop l'intérêt de faire avancer mon armée pour qu'elle se fasse descendre par les archers sur les remparts. L'assaillant dispose d'un avantage, ses armes de siège n'ont pas vraiment à viser, elles ciblent un château, les armes de siège de défense doivent quand à elle essayer de détruire les armes de sièges ennemies en priorité.
Imaginons qu'au tour 1 l'assaillant ai décidé de bombarder les défenses de la forteresse. Il serait donc logique que le défendeur veuille les détruire, faisant tirer ses armes de sièges à leur tour. De plus il paraîtrait judicieux d'envoyer la cavalerie détruire les engins assaillants. L'assaillant défendrait donc ses engins de siège avec ses unités à distance, décimant une bonne partie de la cavalerie ennemie (le résultat dépendrait entre autres de la composition des armées ennemies. Lorsque les cavaliers s'approchent trop l'infanterie se déplacerait pour défendre ces engins de siège. Là une différence pourrait venir des archers montés, qui pourrait par exemple n'être qu'un leurre, il font semblant de s'en prendre aux armes de siège pour en fait détruire les petits contingents envoyés les défendre. De toute manière après avoir fait feu sur une forteresse de qualité, seul quelques passages seraient ouverts à l'assaut des soldats créant des trous dans la défense mais assez facilement défendables en déployant une infanterie lourde, équipée d'armures et de boucliers. On à donc une gorge, défendue au sol par les soldats en armure peut susceptibles d'être tués par des flèches ou des carreaux, et les archers qui demeurent sur les murailles alentours qui peuvent faire pleuvoir leurs flèches sur les assaillants. A un moment ou un autre le combat va se transformer en massacre, un groupe veut passer, l'autre ne veut pas qu'il passe, donc l'assaillant doit mener l'assaut. Là c'est la manière de s'y prendre qui fait la différence ainsi que la manière dont la forteresse est construite.
Enfin bref c'est juste un schéma basique pour expliquer comment je m'y prendrais, étape par étape avec des comportements prédéfinis. Le défendeur aurait une case tactique "Si tel mur est détruit" ou "Si l'ennemi pénètre l'enceinte du château", "Si les unités à distance ennemies sont à tel distance"... L'assaillant aurait des cases tactiques du genre "Si il y à un mur d'enceinte", "Si des archers y sont postés", "Si la cavalerie du défendant est déployée"... Tout ça permettrait de connaître les stratégies de l'ennemi combat après combat, mais également de mettre en place une certaine différence dans la résolution des combats selon les méthodes utilisées.