25-06-2010, 05:59 PM
Oui on parle bien de l'enfant, de l'adolescent dans la plupart des cas d'addiction. Mais merci d'avoir apporté ces informations mais à mon avis c'est un pas de plus vers la connerie. Il arrive à mes parents de passer des heures et des heures à jouer au solitaire ou au freecell, il m'est arrivé à moi même de passer des heures à jouer aux échecs, et pour tout vous dire pour moi c'est exactement la même chose que de jouer à FPS, ça me permet de me vider la tête. Et pour moi ces jeux sont bien moins constructifs que d'autres (les RPG notamment qui font largement travailler mon imagination et ma créativité). Et autrement voir des amis juste pour "traîner" à le même effet que quand je bug sur l'ordinateur. Si c'est si répandus chez les jeunes c'est que ça leur permet de mettre leurs hormones un peu en veille et de juste se détendre. Et chez les hardcore gamers à mon avis ce n'est pas le problème de leurs temps de jeu qu'il faut régler mais plutôt celui qui le cause. Pour avoir fait toutes sortes d'abus (ordinateur, sorties sociales, et soirées enchaînées à me pourrir le crâne) je vois que toutes nos activités extra-professionnelles répondent à un besoin qui répond pour la plupart du temps à un problème sous-jacent lorsque ce n'est pas fait avec modération. C'est le monde du partage qui révèlent les mauvais cotés du jeu vidéo, mais pour moi c'est un phénomène qui ressemble à tous les autres, les abus dans tous les cas sont mauvais mais à mes yeux sont une réponse à un dérèglement psychologique mineur ou plus grave. Que le joueur cherche un sens de l'accomplissement, qu'il cherche à être respecté pour son talent dans un jeu, ou bien qu'il cherche simplement à se vider l'esprit ou encore qu'il cherche à combler un vide dans sa vie sociale, l'addiction au jeu vidéo n'est qu'une réponse à un autre problème. Comme toutes les addictions d'ailleurs à mon avis.