24-02-2016, 07:48 PM
ca me fait penser à une discussion que j'avais eu au bureau avec un défenseur du "paradigme de la page web" sauf que ce paradigme était des années 1980 et dans un objectif où le web était dédié à la lecture de contenu (avec un peu de formulaire)
maintenant on a html 5 qui permet de la vidéo (donc des sliders, incompatible avec le paradigme de la page web : bouton = action = rechargement de page, m'étonnerait bien que le slider video provoque le rechargement de la page)
on est un peu ici sur la même discussion (le point ci dessous m'a fait pensé au paradigme) :
ben justement avec le html 5 on a accès via des instructions js à un conteneur de données local
quel est l'abruti qui a mis en place cette option ?
bref ce qui était vrai il y a 30 20 10 5 ans n'est pas forcément vrai aujourd'hui et ce qui est vrai aujourd'hui sera peut être faux demain
maintenant on a html 5 qui permet de la vidéo (donc des sliders, incompatible avec le paradigme de la page web : bouton = action = rechargement de page, m'étonnerait bien que le slider video provoque le rechargement de la page)
on est un peu ici sur la même discussion (le point ci dessous m'a fait pensé au paradigme) :
(24-02-2016, 06:34 PM)Xenos a écrit : @Argorate:
si tu veux vraiment réduire l'impact réseau, il me semble bien plus efficace de faire un jeu hors-navigateur qui enregistrera les choses en dur sur le disque plutôt que de risquer leur re-téléchargement régulier, genre en cas de F5. Si tu configures proprement les choses (headers de cache et d'expiration), ton serveur ne sera même pas recontacté pour récupérer les CSS. Le même procédé s'applique si tu passes par un XSL comme patron de page. Ainsi qu'aux JS (et autres ressources genre PNG) Leur re-téléchargement peut être forcé en changeant l'URL (type ?v=2.0).
ben justement avec le html 5 on a accès via des instructions js à un conteneur de données local
quel est l'abruti qui a mis en place cette option ?
bref ce qui était vrai il y a 30 20 10 5 ans n'est pas forcément vrai aujourd'hui et ce qui est vrai aujourd'hui sera peut être faux demain