14-03-2011, 02:04 PM
(14-03-2011, 12:27 AM)Sephi-Chan a écrit : Une question qui a son importance : pourquoi ne pas utiliser une base de données ?
En fait c'est une question que je ne m'étais pas posée ! Je n'en suis qu'à mon premier projet web, mais j'ai fait le même genre de projet en client et serveur lourds auparavant. Évidemment quand tu programmes ton serveur toi-même, tu as plus intérêt à charger les cartes en mémoire une bonne fois pour toutes plutôt que de les mettre en bdd. Du coup j'ai gardé l'habitude sans réfléchir, mais effectivement, évaluer le fichier php à chaque requête, c'est dommage.
Ce qui me pousse à vous poser d'autres questions encore :
-ma map semble prendre 786432bytes (j'ai été surpris de voir que sizeof() ne retournait pas l'utilisation mémoire, d'ailleurs), ça se fait de garder ça en session ? Si c'est possible, ça veut dire que le traitement de la vue d'un joueur ne prend que 0,2 ms, alors évidemment, c'est tentant.
-en python, les fichiers sources sont 'compilés' dans un état intermédiaire (fichier .pyc) que python sait utiliser plutôt que le .py s'ils sont à jour. Est-ce qu'un tel truc est possible en php ?
niahoo a écrit :ce que je voulais dire c'est que si tu prévois un fichier binaire, et que tu prévois également d'avoir des valeurs comme 325542 dedans, alors les valeurs '1' prendront auant de place que '325542', tu seras obligé d'enregistrer toutes les valeurs sur le même nombre d'octets.D'accord, on ne s'était pas compris, je pense. En fait, Tiled compte 4 octets par case, d'où mon calcul "200*200*4=156Ko" du premier post.
sur deux octets tu peux aller à 65 536, et 200 * 200 * 2 octets = 80 000 octets.
niahoo a écrit :raisonne par couche.Tiled permet ça (et plein d'autres bonnes choses), mais je m'étais dit que j'allais éviter d'alourdir tout avec plusieurs couches.
d'abord le sol, herbe:1, sable:2, eau:3,
puis la végétation, avec un code d'objet de végétation: sapin:1, sapin2:2, hêtre:3, hêtre2:4, etc..
enfin si Tiled le parmet, ça m'a l'air sympa je vais l'installer.
Enfin pour ça, il n'est jamais trop tard