29-08-2009, 04:02 PM
(29-08-2009, 12:55 PM)NicoMSEvent a écrit : moi par contre, je préfixe mes variables en fonction de leur portée.
g_ pour les gobales
l_ pour les locales
s_ pour les statiques
p_ pour les paramètres passés (éventuellement pi_ po_ pio_ pour les paramètres en entrée/sortie si le langage le permet (comme PL/SQL), sinon en général ma valeur de retour pour une fonction sera tjs l_ret
C'est amusant que tu soulèves ce point. En Ruby, la portée est définie par un caractère qui préfixe le nom de la variable.
class Character
@@count = 0 # Ça commence par @@ donc c'est une variable de classe.
# Retourne le nombre de personnages instanciés.
# Le self.count indique que c'est une méthode de classe.
def self.count
@@count
end
# Constructeur.
def initialize(name)
@name = name # Ça commence par @ donc c'est un attribut.
@@count += 1
end
end
$lang = "fr" # Ça commence par $ donc c'est global.
corwin = Character.new('Corwin') # Quand on ne met rien de spécial, c'est local.
mandor = Character.new('Mandor') # Quand on ne met rien de spécial, c'est local.
puts "#{Character.count} personnages instanciés." # 2
Encre une fois, Ruby se montre peu verbeux est très clair. On écrit peu et on identifie les portées d'un simple coup d'oeil.
(29-08-2009, 03:11 PM)OncleJames a écrit : Travaillant en équipe et à distance, cette notation nous a fait gagner bien du temps.
Elle ne demande pas de changer le nom, sa fonction, .. juste de préciser ce qu'elle contient.
Dans des listes de fonctions, savoir ce que l'on doit passer en argument juste en regardant son nom, c'est très agréable (et gain de temps par la même occasion, au lieu d'embêter ses voisins à comprendre ce qu'ils ont programmés :non.
À mons sens, le nommage et la documentation suffisent.
Mais du moment que ça vous aide, c'est l'essentiel.
Sephi-Chan